Couverture Du festival International du Film des Droits humains-Marocains.
Reportage Réalisé par: Soulaïmane ouali, Mounir Araïb, Zakaria Houem
lundi 9 juin 2008
samedi 31 mai 2008
Les Infiltrés (Departed)
A Boston, une lutte sans merci oppose la police à la pègre irlandaise.
Pour mettre fin au règne du parrain Frank Costello, la police infiltre son gang avec "un bleu" issu des bas quartiers, Billy Costigan.
Tandis que Billy s'efforce de gagner la confiance du malfrat vieillissant, Colin Sullivan entre dans la police au sein de l'Unité des Enquêtes Spéciales, chargée d'éliminer Costello. Mais Colin fonctionne en "sous-marin" et informe Costello des opérations qui se trament contre lui.
Risquant à tout moment d'être démasqués, Billy et Colin sont contraints de mener une double vie qui leur fait perdre leurs repères et leur identité.
Traquenards et contre-offensives s'enchaînent jusqu'au jour où chaque camp réalise qu'il héberge une taupe. Une course contre la montre s'engage entre les deux hommes avec un seul objectif : découvrir l'identité de l'autre sous peine d'y laisser sa peau...
Date de sortie : 29 Novembre 2006
Réalisé par Martin Scorsese
Avec Leonardo DiCaprio, Matt Damon, Jack Nicholson
Film américain
Genre : Policier, Thriller, Drame
Durée : 2h 30min
Année de production : 2006
Titre original : The Departed
Remake de Infernal affairs
Distribué par TFM Distribution
Budget : 90 000 000 $
Box Office France : 1 856 819 entrées
N° de visa : 116781
Couleur
Format du son : Dolby Digital DTS
Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope
Format de production : 35 mm
Tourné en : Anglais
bande-annonce
interview avec Martin scorsese (eng)
la séquence d'ouverture
Pour mettre fin au règne du parrain Frank Costello, la police infiltre son gang avec "un bleu" issu des bas quartiers, Billy Costigan.
Tandis que Billy s'efforce de gagner la confiance du malfrat vieillissant, Colin Sullivan entre dans la police au sein de l'Unité des Enquêtes Spéciales, chargée d'éliminer Costello. Mais Colin fonctionne en "sous-marin" et informe Costello des opérations qui se trament contre lui.
Risquant à tout moment d'être démasqués, Billy et Colin sont contraints de mener une double vie qui leur fait perdre leurs repères et leur identité.
Traquenards et contre-offensives s'enchaînent jusqu'au jour où chaque camp réalise qu'il héberge une taupe. Une course contre la montre s'engage entre les deux hommes avec un seul objectif : découvrir l'identité de l'autre sous peine d'y laisser sa peau...
Date de sortie : 29 Novembre 2006
Réalisé par Martin Scorsese
Avec Leonardo DiCaprio, Matt Damon, Jack Nicholson
Film américain
Genre : Policier, Thriller, Drame
Durée : 2h 30min
Année de production : 2006
Titre original : The Departed
Remake de Infernal affairs
Distribué par TFM Distribution
Budget : 90 000 000 $
Box Office France : 1 856 819 entrées
N° de visa : 116781
Couleur
Format du son : Dolby Digital DTS
Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope
Format de production : 35 mm
Tourné en : Anglais
bande-annonce
interview avec Martin scorsese (eng)
la séquence d'ouverture
mercredi 28 mai 2008
Analyse par soulaimane
Le film débute par une indication de lieu <> sans préciser exactement la date, et sur un fond de générique qui annonce un calme apparent jonc lé de sons mélanger le flot de mer et de cris d’albatros, il est brusquement coupé par une scène de violence très choquante, ce choix est astucieux dans la mesure ou il met l’accent sur le <> / <>.
Ici le narrateur mis en valeur la violence sur les noirs des états unis, qu’ils les qualifient comme des chevaliers qui se battent pour une noble cause.
La même scène révèle une succession d’expression assez posée, en voix off, le narrateur en annonçant son dégoût et sa révolution vis-à-vis la société, l’environnement est le religion.
Le réalisateur bascules d’une première scène violente contre les noirs a une deuxième très calme d’une silhouette marchante dans un entourage isolé, avec une couleur grise symbolisant l’image négative des irlandais dans la société américaine.
Cette projection est illustrée par le narrateur avec une voix off, en incitant après chaque individu et en particulier les <> de prendre leur droit par leur propre main car eux aussi en tant que blanc <> n’ont pas eu leur droit comme don du gouvernement.
Le troisième se montre très claire pas rapport aux précédent avec son aspect dynamique d’une part, une musique rythmique et une durée de plan courte afin d’augmenter le tension, d’autre part des réplique. La silhouette de la deuxième scène est dévoile pour la première fois notion du temps, technique que le réalisateur en mis l’accent pour montrer la durée exacte de l’événement. En plus il a poussé le spectateur à comprendre la raison pour laquelle il a fixé un grand plan sur l’enfant. Habillé en vert et blanc (IRLAND. PAYS VERT), pendant que l acteur parle avec la fille, cette discussion est caractérise par un rythme rapide vu la force matériel et psychique que JN a vis-à-vis les acteurs.
Cette autorité se voit également par son savoir complet de la région et cela est éclaircit par Son discours avec l’enfant « tu es le fils de…. » Qui le rappelle en fait de son enfance.
Apres avoir su son origine familiale, J.N ordonne le propriétaire du magasin de donner a l’enfance ses besoins quotidien « lait » toujours représente par le réalisateur avec un rythme rapide comme signe d exultation d’ordres, en fin de scène on note la présence d’une expression déjà citée dans la deuxième scène donnent pas,en l’adressant a l’enfant qu’il faut travailler pour avoir des dons pareils(lait,argent………)
Dans la quatrième scène, y a un retour du narrateur avec une voix off tout au langue de a scène .on passe d’un milieu de violence et d’autorité a un autre sacre (ELISE).Etant orphelin et adopte par l’église, l’enfant se trouve dans une situation paradoxale entre et e al personnifie a J.N et son milieu et le bien (l’église).
Dans la dernière scène de la séquence d’ouverture, le réalisateur ressort une tournure artistique a haut niveau, celle du retour au milieu de l’apparition de la silhouette (JN dans le garage), mais cette fois avec la présence de l’enfant.
L’intrigue du film se déclanche a partir des dires de J.N a l’enfant, qui le choisis afin d’être son protége qui peut prendre la relève en lui transmettant toute les connaissance qu’il a dans le domaine du mafia. La technique choisie par l’acteur est de lui confier un crime qui l’a commis en plein jour .Ce geste avait deux significations :
- rendre l’enfant complice
- lui faire savoir que nul ne peut lui faire peur même la mort.
Sa logique était poignante, en lui disant que la société nous prédestine à être policier ou criminel, l’image que ça est égale quand on est a la merci d’un flingue ne laisse pas le choix au petit qui deviendra par la suite les deux a la fois : « un infiltre ».
Ici le narrateur mis en valeur la violence sur les noirs des états unis, qu’ils les qualifient comme des chevaliers qui se battent pour une noble cause.
La même scène révèle une succession d’expression assez posée, en voix off, le narrateur en annonçant son dégoût et sa révolution vis-à-vis la société, l’environnement est le religion.
Le réalisateur bascules d’une première scène violente contre les noirs a une deuxième très calme d’une silhouette marchante dans un entourage isolé, avec une couleur grise symbolisant l’image négative des irlandais dans la société américaine.
Cette projection est illustrée par le narrateur avec une voix off, en incitant après chaque individu et en particulier les <
Le troisième se montre très claire pas rapport aux précédent avec son aspect dynamique d’une part, une musique rythmique et une durée de plan courte afin d’augmenter le tension, d’autre part des réplique. La silhouette de la deuxième scène est dévoile pour la première fois notion du temps, technique que le réalisateur en mis l’accent pour montrer la durée exacte de l’événement. En plus il a poussé le spectateur à comprendre la raison pour laquelle il a fixé un grand plan sur l’enfant. Habillé en vert et blanc (IRLAND. PAYS VERT), pendant que l acteur parle avec la fille, cette discussion est caractérise par un rythme rapide vu la force matériel et psychique que JN a vis-à-vis les acteurs.
Cette autorité se voit également par son savoir complet de la région et cela est éclaircit par Son discours avec l’enfant « tu es le fils de…. » Qui le rappelle en fait de son enfance.
Apres avoir su son origine familiale, J.N ordonne le propriétaire du magasin de donner a l’enfance ses besoins quotidien « lait » toujours représente par le réalisateur avec un rythme rapide comme signe d exultation d’ordres, en fin de scène on note la présence d’une expression déjà citée dans la deuxième scène donnent pas,en l’adressant a l’enfant qu’il faut travailler pour avoir des dons pareils(lait,argent………)
Dans la quatrième scène, y a un retour du narrateur avec une voix off tout au langue de a scène .on passe d’un milieu de violence et d’autorité a un autre sacre (ELISE).Etant orphelin et adopte par l’église, l’enfant se trouve dans une situation paradoxale entre et e al personnifie a J.N et son milieu et le bien (l’église).
Dans la dernière scène de la séquence d’ouverture, le réalisateur ressort une tournure artistique a haut niveau, celle du retour au milieu de l’apparition de la silhouette (JN dans le garage), mais cette fois avec la présence de l’enfant.
L’intrigue du film se déclanche a partir des dires de J.N a l’enfant, qui le choisis afin d’être son protége qui peut prendre la relève en lui transmettant toute les connaissance qu’il a dans le domaine du mafia. La technique choisie par l’acteur est de lui confier un crime qui l’a commis en plein jour .Ce geste avait deux significations :
- rendre l’enfant complice
- lui faire savoir que nul ne peut lui faire peur même la mort.
Sa logique était poignante, en lui disant que la société nous prédestine à être policier ou criminel, l’image que ça est égale quand on est a la merci d’un flingue ne laisse pas le choix au petit qui deviendra par la suite les deux a la fois : « un infiltre ».
vendredi 18 avril 2008
Web et TV unis dans la promotion du livre
Un nouveau site internet vient de voir le jour dans le monde de l’actualité littéraire. À la croisée d’internet et de la télévision, Web-TV-Culture propose un format original et vivant permettant à...
Un nouveau site internet vient de voir le jour dans le monde de l'actualité littéraire. À la croisée d'internet et de la télévision, Web-TV-Culture propose un format original et vivant permettant à tous les amoureux du livre d'échanger opinions, avis et coups de cœur, qu'ils soient auteurs, éditeurs ou simples lecteurs.
C’est par l’intermédiaire d’interviews filmées que les internautes découvrent l’actualité littéraire et le parcours des auteurs venus faire la promotion de leur dernier ouvrage. Chaque interview est également l’occasion, pour un éditeur, de donner son avis sur l’auteur et l'ouvrage qu'il vient présenter.
Une dernière rubrique, destinée aux lecteurs, les invite à laisser un commentaire sur ce qu’ils viennent de voir ou de lire. Enfin, au terme de leur navigation, les internautes peuvent commander directement sur le site les livres qui y ont été chroniqués. Espérons que cette nouvelle plateforme de promotion du livre, qui prétend s’adresser à l'ensemble des genres littéraires (romans, essais, guides, bandes dessinées…) et aux maisons d’édition de tous bords, saura séduire les internautes et réconcilier, autour et au service de l’amour du livre, des médias souvent
C’est par l’intermédiaire d’interviews filmées que les internautes découvrent l’actualité littéraire et le parcours des auteurs venus faire la promotion de leur dernier ouvrage. Chaque interview est également l’occasion, pour un éditeur, de donner son avis sur l’auteur et l'ouvrage qu'il vient présenter.
Une dernière rubrique, destinée aux lecteurs, les invite à laisser un commentaire sur ce qu’ils viennent de voir ou de lire. Enfin, au terme de leur navigation, les internautes peuvent commander directement sur le site les livres qui y ont été chroniqués. Espérons que cette nouvelle plateforme de promotion du livre, qui prétend s’adresser à l'ensemble des genres littéraires (romans, essais, guides, bandes dessinées…) et aux maisons d’édition de tous bords, saura séduire les internautes et réconcilier, autour et au service de l’amour du livre, des médias souvent
La 4ème édition du FIGOG fait la part belle au cinéma marocain
Genève - La 4ème édition du Festival international du film oriental de Genève (FIGOG), dont le coup d'envoi a été donné lundi soir, fait la part belle au cinéma marocain, offrant ainsi l'opportunité...
vendredi 28 mars 2008
Célébrons ensemble 10 ans d’efforts communs
A voir le dynamisme et le souffle qui le porte, on pourrait croire le Festival Gnaoua et Musiques du Monde bien jeune… Et pourtant, cela fait aujourd’hui 10 ans que nous construisons ensemble, pierre après pierre, ce festival pionnier et en constante ébullition artistique, cet événement à part dans le paysage culturel. Patrimoine et respect de la tradition, invitation au voyage et aux risques de l’improvisation, militantisme et pondération, c’est un peu tout cela qui donne au festival son parfum et sa saveur à la fois populaire et avant-gardiste.
jeudi 27 mars 2008
vendredi 7 mars 2008
Un film anti-Islam de GEERT WILDERS
La tension est montée d'un cran jeudi aux Pays-Bas, après la nouvelle convocation du député d'extrême-droite Geert Wilders par le gouvernement, inquiet des dégâts économiques et politiques comme des violences que son film anti-islam pourrait causer
"C'était une heure d'intimidation pure"", a déclaré M. Wilders à la presse néerlandaise dans la nuit de jeudi à vendredi, à l'issue de cette réunion avec les ministres des Affaires étrangères Maxime Verhagen et de la Justice Ernst Hirsch Ballin. Il s'est cependant dit ""déterminé"" à diffuser le film sur lequel il travaille depuis l'automne 2007, dans lequel il veut démontrer le caractère ""fasciste"", selon lui, du Coran. Le ministère de la Justice a indiqué que la conversation avait porté sur les éventuelles conséquences juridiques pour M. Wilders, si son film était blasphématoire ou incitait à la violence. Les trois hommes ont également évoqué les conséquences politiques et économiques pour les Pays-Bas et les menaces pesant sur les institutions néerlandaises à l'étranger, a indiqué le ministère. En novembre, le gouvernement avait déjà convoqué M. Wilders après l'annonce de son projet, et en janvier, les éventuelles retombées avaient été largement évoquées lors d'un conseil des ministres afin de préparer les autorités à de possibles réactions de colère des musulmans. Cette vidéo d'une quinzaine de minutes, qui s'intitulerait ""Fitna"" (en arabe: division et discorde au sein de l'islam), sera prête en fin de semaine et diffusée en mars, sans doute sur un site internet propre, avait indiqué le député. Geert Wilders, 44 ans, ancien élu du Parti libéral et aujourd'hui chef du Parti pour la liberté (PVV, 9 sièges de députés sur 150), a appelé le parlement à interdire le livre saint des musulmans qu'il compare à ""Mein Kampf"" de Hitler, estimant qu'il fallait en ""déchirer"" certaines parties. Les autorités néerlandaises craignent qu'il n'exécute sa menace ou le brûle devant la caméra, provoquant aux Pays-Bas et à l'étranger une affaire comparable à celle des caricatures de Mahomet publiées par la presse danoise. A l'issue d'une réunion ministérielle à Brodo Pri Kranju en Slovénie le 26 janvier, plusieurs ministres avaient également exprimé leurs craintes de tensions avec le monde islamique. Des pays comme l'Iran ou l'Egypte ont exprimé leur indignation, menaçant les Pays-Bas d'un boycottage économique et déplorant des ""attaques gratuites"". De nombreuses associations musulmanes néerlandaises ont déjà appelé les musulmans du pays au calme, les priant de ne répondre à la provocation. Selon les médias, le film montrerait entre autre des images de l'actualité sanglante des pays musulmans: ""une décapitation en Irak, une lapidation en Iran et une exécution en Arabie saoudite, où la charia (loi islamique, ndlr) est appliquée"", en les rapprochant de sourates du Coran. Le député vit sous protection policière depuis l'assassinat en 2004 du cinéaste et polémiste Theo van Gogh, égorgé par un islamiste après la diffusion sur une chaîne publique de son film ""Submission"", dénonçant l'oppression des femmes par l'islam. Le scénario avait été écrit par l'ancienne députée néerlandaise d'origine somalienne Ayaan Hirsi Ali, ancienne collègue de M. Wilders au parti libéral, et qui vit elle aussi sous protection policière.
Giovanni Veronesi achève l'étape Ouarzazate de son film 'Italians'

A un an de son extraordinaire comédie sentimentale " Leçon d'amour à l'italienne " (20 millions d'euros de recettes), le réalisateur italien Giovanni Veronesi vient d'achever à Ouarzazate les prises de vue de son nouveau long-métrage " Italians ".
L'équipe de tournage de ce film, produit par Luigi De Laurentiis, est ainsi partie s'installer aux plateaux d'Erfoud pour l'avant dernière étape de cette pellicule qui s'achèvera définitivement par les prises de vue intérieures aux studios de Rome en août prochain. Le film, qui sortira dans les salles de cinéma en janvier 2009, met aux prises un casting important : Carlo Verdone, Sergio Castellitto et Riccardo Scamarcio. Deux histoires parcourent ce film, la première interprétée par le couple scamarcio- Castellitto et qui aura lieu entre Rome, Maroc et Emirats Arabes, alors que la deuxième aura pour protagoniste principal Carlo Verdone et aura pour cadre San Pietroburgo. " Italians ", grâce auquel Giovanni Veronesi signe son onzième film et recompose des histoires contradictoires des ressortissants italiens à l'étranger qui paraissent parfois gauches et ridicules et parfois vertueux, romantiques et géniaux. "Les Italiens à l'étranger sont toujours distingués pour leur capacité de s'insérer dans la culture du pays dans lequel ils vivent ", avait commenté Giovanni Veronesi, parce que, dit-il, ils ont une grande vertu : la générosité. De Laurentiis, lui, estime que " les meilleurs Italiens se trouvent à l'étranger ". Frère de l'écrivain Sandro Veronesi, Giovanni qui a longtemps exercé au cinéma en tant que scénariste, a connu le succès comme réalisateur avec Che ne sarà di noi, en 2004 et le diptyque " Leçons d'amour à l'italienne " (Manuale d'amore) en 2005 et 2007. Si son premier scénario écrit en faveur du réalisateur Francesco Nuti (Tutta Colpa del Paradiso) fut en 1985, son premier film en tant que réalisateur a été Maramao, deux ans après
L'équipe de tournage de ce film, produit par Luigi De Laurentiis, est ainsi partie s'installer aux plateaux d'Erfoud pour l'avant dernière étape de cette pellicule qui s'achèvera définitivement par les prises de vue intérieures aux studios de Rome en août prochain. Le film, qui sortira dans les salles de cinéma en janvier 2009, met aux prises un casting important : Carlo Verdone, Sergio Castellitto et Riccardo Scamarcio. Deux histoires parcourent ce film, la première interprétée par le couple scamarcio- Castellitto et qui aura lieu entre Rome, Maroc et Emirats Arabes, alors que la deuxième aura pour protagoniste principal Carlo Verdone et aura pour cadre San Pietroburgo. " Italians ", grâce auquel Giovanni Veronesi signe son onzième film et recompose des histoires contradictoires des ressortissants italiens à l'étranger qui paraissent parfois gauches et ridicules et parfois vertueux, romantiques et géniaux. "Les Italiens à l'étranger sont toujours distingués pour leur capacité de s'insérer dans la culture du pays dans lequel ils vivent ", avait commenté Giovanni Veronesi, parce que, dit-il, ils ont une grande vertu : la générosité. De Laurentiis, lui, estime que " les meilleurs Italiens se trouvent à l'étranger ". Frère de l'écrivain Sandro Veronesi, Giovanni qui a longtemps exercé au cinéma en tant que scénariste, a connu le succès comme réalisateur avec Che ne sarà di noi, en 2004 et le diptyque " Leçons d'amour à l'italienne " (Manuale d'amore) en 2005 et 2007. Si son premier scénario écrit en faveur du réalisateur Francesco Nuti (Tutta Colpa del Paradiso) fut en 1985, son premier film en tant que réalisateur a été Maramao, deux ans après
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