Ici le narrateur mis en valeur la violence sur les noirs des états unis, qu’ils les qualifient comme des chevaliers qui se battent pour une noble cause.
La même scène révèle une succession d’expression assez posée, en voix off, le narrateur en annonçant son dégoût et sa révolution vis-à-vis la société, l’environnement est le religion.
Le réalisateur bascules d’une première scène violente contre les noirs a une deuxième très calme d’une silhouette marchante dans un entourage isolé, avec une couleur grise symbolisant l’image négative des irlandais dans la société américaine.
Cette projection est illustrée par le narrateur avec une voix off, en incitant après chaque individu et en particulier les <
Le troisième se montre très claire pas rapport aux précédent avec son aspect dynamique d’une part, une musique rythmique et une durée de plan courte afin d’augmenter le tension, d’autre part des réplique. La silhouette de la deuxième scène est dévoile pour la première fois notion du temps, technique que le réalisateur en mis l’accent pour montrer la durée exacte de l’événement. En plus il a poussé le spectateur à comprendre la raison pour laquelle il a fixé un grand plan sur l’enfant. Habillé en vert et blanc (IRLAND. PAYS VERT), pendant que l acteur parle avec la fille, cette discussion est caractérise par un rythme rapide vu la force matériel et psychique que JN a vis-à-vis les acteurs.
Cette autorité se voit également par son savoir complet de la région et cela est éclaircit par Son discours avec l’enfant « tu es le fils de…. » Qui le rappelle en fait de son enfance.
Apres avoir su son origine familiale, J.N ordonne le propriétaire du magasin de donner a l’enfance ses besoins quotidien « lait » toujours représente par le réalisateur avec un rythme rapide comme signe d exultation d’ordres, en fin de scène on note la présence d’une expression déjà citée dans la deuxième scène donnent pas,en l’adressant a l’enfant qu’il faut travailler pour avoir des dons pareils(lait,argent………)
Dans la quatrième scène, y a un retour du narrateur avec une voix off tout au langue de a scène .on passe d’un milieu de violence et d’autorité a un autre sacre (ELISE).Etant orphelin et adopte par l’église, l’enfant se trouve dans une situation paradoxale entre et e al personnifie a J.N et son milieu et le bien (l’église).
Dans la dernière scène de la séquence d’ouverture, le réalisateur ressort une tournure artistique a haut niveau, celle du retour au milieu de l’apparition de la silhouette (JN dans le garage), mais cette fois avec la présence de l’enfant.
L’intrigue du film se déclanche a partir des dires de J.N a l’enfant, qui le choisis afin d’être son protége qui peut prendre la relève en lui transmettant toute les connaissance qu’il a dans le domaine du mafia. La technique choisie par l’acteur est de lui confier un crime qui l’a commis en plein jour .Ce geste avait deux significations :
- rendre l’enfant complice
- lui faire savoir que nul ne peut lui faire peur même la mort.
Sa logique était poignante, en lui disant que la société nous prédestine à être policier ou criminel, l’image que ça est égale quand on est a la merci d’un flingue ne laisse pas le choix au petit qui deviendra par la suite les deux a la fois : « un infiltre ».
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